Focus Spécial CSE

Bonjour je suis Marc chevalier formateur certifié de la fédération de la formation professionnelle adultes depuis 2020 et coopérateur depuis octobre 2022.

J’ai passé 30 ans sur les terrains des meilleurs restaurants et hôtels de France aussi aux États-Unis. Depuis aussi longtemps que je me souvienne j’ai toujours été proche de l’associatif, bénévole ou adhérents mais toujours actif  fondateur d’une association humanitaire. J’ai aussi été vice-président de la fédération du commerce et de l’artisanat niçois, président d’association de commerçants que j’ai créée, bénévole actif dans l’accompagnement et le mentorat pour INITIATIVE et BETTER TOGETHER.

J’ai à cœur de participer à la vie et l’organisation partagée, ensemble en ville, en association, en coopérative tout simplement pour fédérer partager et aller plus loin en échangeant, en conjuguant toutes nos compétences et nos efforts.

Pourquoi avez-vous décidé de vous porter candidat et quel impact espérez-vous avoir sur le bien-être des coopérateurs ?

Pour moi il était évident de me présenter non pas pour être tête de liste, mais pour faire partie du rouage de la vie interne de la coopérative parce qu’il faut travailler le réseau, parce qu’il faut créer, monter et faire vivre un CSE, et que pour moi c’est une nouvelle aventure, une aventure dans le partage, un challenge professionnel et personnel, sans oublier que le CSE est destiné à chacun et c’est là que réside la beauté de la mission : comme au Rugby c’est le collectif qui prime.

Partagez votre perspective sur le rôle du CSE. Quelle vision avez-vous pour son rôle dans l’amélioration du quotidien des coopérateurs ?

Je n’ai pas encore une grande vision de la mission qu’aura ce CSE, mais c’est justement le moteur de ce qui doit nous lier, la construction « tous ensemble et pour nous-mêmes ». Il faudra arbitrer les destinations de ce CSE et donner des directions qui nous lient, nous rassemblent, nous font monter en compétences et favorisent l’élargissement de nos réseaux par ricochet ; de nos entreprises respectives. Tout est à créer et c’est très excitant, j’espère que nous pourrons ensemble, vivre ces moments forts.

J’ai développé dans le cadre de la couveuse Altitude, puis de BGE COOP une activité de conseil dans les secteurs social, médico-social et de la formation. Depuis trois ans, j’accompagne mes clients dans le déploiement de leur démarche d’amélioration continue de la qualité et la préparation de leurs évaluations et certifications. Je réalise aussi des formations sur ce thème et des audits/évaluations pour le compte d’organismes de certification.

Mes qualités d’écoute et relationnelles m’ont permis de développer des capacités à piloter un projet en fédérant une équipe. Ce sont ces compétences que je mets au service du CSE de BGE COOP.

Pourquoi avez-vous décidé de vous porter candidat et quel impact espérez-vous avoir sur le bien-être des coopérateurs ?

Le sens du travail dans nos vies, la qualité de vie au travail sont des sujets qui m’ont amené à créer cette activité indépendante. Et pourquoi pas aujourd’hui, dans le cadre du CSE, développer ensemble un mode de fonctionnement qui nous convienne et nous donne le plus de satisfactions possibles.

Partagez votre perspective sur le rôle du CSE. Quelle vision avez-vous pour son rôle dans l’amélioration du quotidien des coopérateurs ?

Ce que je ressens de plus pesant dans mon activité indépendante, c’est la vulnérabilité face à l’incertitude.

Lors de la présentation en visio du CSE, il a été question de la prévoyance. Être protégés en cas d’imprévisible, c’est ce que nous avons perdu en développant notre indépendance. N’aspirez -vous pas à avoir les deux ? Moi, oui. Mais comment concilier les deux ? Comment nous protéger ?  Le CSE c’est l’opportunité de construire notre protection : se former pour anticiper et préparer l’avenir, se protéger du stress dans lequel nous pourrions nous mettre nous-même et se prémunir en cas de « coup dur » lié à notre santé ou l’accident.

La formation, la gestion du stress, la prévoyance, ce sont les trois sujets sur lesquels j’aimerai travailler avec vous dans le cadre du CSE.

A bientôt pour avancer ensemble.

Spécialiste du webmarketing et de la communication, je propose aux dirigeants (TPE/PME), entrepreneurs et commerçants des audits, des accompagnements et de la formation pour mettre en œuvre leurs plans de communication et développer ainsi leurs activités.

Au cours de mes expériences passées, j’ai eu l’opportunité de mettre en place des initiatives visant à améliorer la communication interne, à renforcer la cohésion d’équipe et à favoriser un environnement de travail inclusif. Ces expériences m’ont permis de développer des compétences en communication, en négociation et en résolution de problèmes, des compétences que je souhaite mettre à profit au sein du CSE.

Pourquoi avez-vous décidé de vous porter candidat et quel impact espérez-vous avoir sur le bien-être des coopérateurs ?

Je me porte candidat suppléant pour permettre la naissance de ce comité pour participer à la stratégie et la politique sociale de BGE Coop.

En étant élue au sein du CSE, je contribuerai au renforcement du réseau de coopérateurs et pourrai oeuvrer pour soutenir les problématiques individuelles et collectives.

Partagez votre perspective sur le rôle du CSE. Quelle vision avez-vous pour son rôle dans l’amélioration du quotidien des coopérateurs ?

Contribuer à la naissance de ce 1er CSE pour ensuite œuvrer sur un sujet qui me semble important : la Formation et le Développement professionnel.

Je souhaiterai que le CSE permette, dans l’avenir, de mettre en place des programmes de formation et de développement professionnel pour permettre aux coopérateurs d’acquérir de nouvelles compétences et de progresser dans leur activité.

J’exerce l’activité d’assistante de direction externalisée au sein de BGE COOP. C’est après une douzaine d’années en tant que salariée, en tant qu’assistante de direction et chargée de communication, que j’ai décidé d’exercer mon métier avec une nouvelle casquette, celle du chef d’entreprise.

En tant qu’assistante, 2 qualités qui peuvent être mises à profit pour le CSE sont l’écoute et la recherche de solutions, quel que soit le problème rencontré.

Pourquoi avez-vous décidé de vous porter candidat et quel impact espérez-vous avoir sur le bien-être des coopérateurs ?

S’investir dans le CSE, c’est participer activement à l’évolution de la coopérative. C’est faire entendre sa voix et porter celle des autres.

Partagez votre perspective sur le rôle du CSE. Quelle vision avez-vous pour son rôle dans l’amélioration du quotidien des coopérateurs ?

Le CSE agit dans l’intérêt des salariés et pour la progression de la coopérative. Je le vois comme un médiateur. La 1e étape, selon moi, consistera à recueillir les attentes des coopérateurs. C’est en fonction de ces retours que les projets concrets pourront être définis et classés par ordre de priorité.